Elle ajouta par dessus son épaule en réponse à sa remarque:
" Tu te plein encore et de défigure l'autre joue."
Alors qu’ils furent partis, elle regarda ses filles. Voyant la frustration dans les yeux de certaines. Ne a-t-elle pas assez parlé? Ne leur a-t-elle pas encore assez dit combien mauvais était les hommes sous leur air de gentil coeur?
"Je m'adresse à certaines qui seront ce reconnaître. Êtes-vous certaine de vouloir rester? Êtes-vous certaine de vouloir être libre? Être-vous vraiment tannée du traitement oppresseur qu'exerçaient les hommes sur vous? Si votre réponse à c'est trois question est non, mais que faites-vous encore ici? Personne ne vous retient. Retournez vous faire dorloter et redevenez de petites poupées bien dressées entre les mains contrôlantes de ces erreurs de la nature."
Elle s'arrêta un moment, pour voir la réaction de celle qu'elle pensait concernées. Puis elle reprit.
"Celles qui sont ici n'ont pas besoin des hommes pour se faire protégée. Ne croyez pas que nous ne soyons pas protégés. Nous le sommes, mais pas par les mêmes choses. Nous sommes protégées par notre anonymat, par ces immenses tous terrains, par l'ombre, par notre groupe... chacune, les unes et les autres, nous protégeons notre soeur. Moi même, je suis engagée à donner ma vie pour assurer la votre. Sous sommes des soeurs. Que faire d'un grand frère barbant alors que l'on a des soeurs qui rassurantes. Mesdames...mes chères soeurs... le choix vous appartiens éternellement."
Elle avait terminée son discours. Peut-être que certaines partiraient. Temps pis, elle trouverais bien d'autre vrais rebelles. Celles véritablement accrochées à leur cause manquaient terriblement. Il y avait un moment que Tetra n'avait pas eu de nouvelle de l'enseignante de danse du conservatoire. Allait-elle finalement les rejoindre?
Tetra devança le groupe pour les conduire dans un autre endroit. Si elle avait bien compté le temps était venue. Elle pourrait faire une sortie. Les femmes attendant ce moment avec impatience. Tetra le savait. Une fois par mois, un certain conduit des égouts était ouvert et conduisait hors de Physalis. Elles pouvaient alors passé une nuit et une journée à la surface entourer d'une nature sauvage. Tetra avait déjà pensé à les faire toute emménager dans les bois, mais s'était impensable. Même les plus déterminé ne supporterais pas la vie difficile des bois. Dans les égouts, elles avait accès a des produit commerciales en remontant à la surface, mais, un fois dans les bois, elles seraient coupé de tout. Elle devrait chassé, pêcher, construire des dizaines d'abri. Tetra pourrais survivre seule, mais nourrir une dizaine de femmes de sa chasse trois fois par jour l'épuiserait. Sans parler de cette maladie. Si ça se trouve, elle doit se transmettre par les moustiques, et quel pire endroit que la forêt pour s'en éloigner. Quoi encore... elles ne pouvaient survivre d'une alimentation purement carnivore, encore faut-il trouvé des plantes comestibles. La forêt ce trouve à être une forêt de conifères… riche en champignons, mais pauvre en plantes et fruitières, ou en tout autre formes de plantes très comestibles.
Tetra avait alors vu à cette possibilité d'évasion un façon de repaître l'humeur de ses camarades. Une vue sur l'air pure de l'extérieur durant un court temps les aidaient à survivre.
Elles arrivèrent donc au passage ouvert depuis peu. Elles avancèrent encore un peu et trouvèrent l'échelle qui les menait dehors. Elles montèrent et trouvèrent l'air libre.
(Suite, hors de Physalis, la forêt)